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Les menus
Après une petite introduction animée explosive mettant en scène les Dragon Ball, la lecture du premier épisode débute automatiquement à l’insertion du DVD. On peut cependant accéder à un menu principal, agrémenté d’un thème musical et très peu animé si l’on excepte le fond "spatial", en pressant la touche Menu de la télécommande de son lecteur de DVD. Depuis ce dernier, trois options sont proposées de gauche à droite : accès à l’écran des chapitres, lecture en continue avec les génériques et lecture en continue sans les génériques. Chaque choix est suivi d’une transition animée et il n’y a donc rien de bien nouveau depuis les précédentes Dragon Box. Sur l’écran de sélection des épisodes, aucune musique n’est présente et seuls quelques bruitages discrets viennent lui donner un peu de vie. Sur ce dernier on peut débuter la lecture de l’un des épisodes depuis son générique de début et une fois le Teaser suivant l’Ending terminé, on revient automatiquement sur cet écran.

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Les bonus
L'ensemble des suppléments sont regroupés sur un DVD Bonus portant à douze le nombre total de Disc de ce coffret.

Dragon Ball GT: Goku Gaiden! Yûki no Akashi wa Sûshinchû (46 minutes)
Bien que chronologiquement situé postérieurement à la série TV, ce téléfilm fut retransmis sur les petits écrans nippons le 26 mars 1997, alors que la diffusion de cette dernière était en cours. L’aventure se situe 100 ans après la fin des événements de Dragon Ball GT : Pan, désormais est l’unique personnage de la grande épopée à laquelle ce Spécial fait donc suite. Le téléfilm est précédé de sa bande annonce et inclus les différents eye-catch, spécialement conçus pour l’occasion.

Génériques sans crédits (6 minutes 50)
Les versions sans crédit des deux moutures du générique de début et des deux premiers génériques de fin ("Hitori Ja Nai" et "Don't you see!") s’enchainent lors de la sélection de cette section depuis le menu.

Preview du premier épisode (30 secondes)
A l’image des Teasers suivant la diffusion de chaque épisode (excepté celle du dernier évidement), il existe une bande annonce du premier épisode retransmise avant que la série ne fasse ses débuts au Japon. Cette petite séquence est donc proposée en guise de supplément.

Publicités (2 minutes 10)
Cette vidéo compile plusieurs publicités de produits dérivés de la série dont la majorité est destinée aux jeunes enfants. Comment ne pas être un excellent élève en travaillant sur le bureau DBGT avec des fournitures scolaires DBGT et enfin en prenant tous les jours un goûter dont les mérites sont également vantés par ses héros préférés ?
S’il figure en outre des spots TV concernant les Cardrass, il est un peu dommage que le panel proposé n’inclue pas d’autres goodies dont les jeux vidéo avec Dragon Ball Final Bout pour lequel une publicité existe à n’en pas douter.

Trailer Dragon Ball Z Budokai 3 (3 minutes 30)
On dispose donc d’un long Trailer du troisième et dernier opus en date de la série des jeux vidéo Dragon Ball Z Budokaï, développé par DIMPS et paru sur la console Playstation 2. Une demi-surprise puisque la bande annonce de la première mouture figurait parmi les suppléments de la seconde Dragon Box : Dragon Ball Z.

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Les goodies

L’art book
La Box est accompagnée d’un Art Book présentant une couverture souple et inséré avec les trois coffrets dans le fourreau. Il débute par un arbre des relations entre les personnages, un diagramme récapitulatif des différentes "formes" de Son Goku (entre lesquelles il y a de quoi se perdre...) et une présentation de tous les protagonistes de la série. Le contenu des différents DVD est passé ensuite en revue avec une double-page consacrée à chacun, double page sur laquelle figure le titre des épisodes et diverses informations. Le fascicule se termine par des interviews des membres du Staff, quelques croquis du Character Design et un aperçu de dérivés (notamment celui l’édition DVD Zone 1).

Le Dragon Radar
Comme cela est le cas depuis la première Dragon Box, le coffret est accompagné d’un Goodie exclusif. Si jusque là, ce domaine était réservé aux figurines, une pointe d’originalité a été apportée puisqu’est "offert" une télécommande multifonction en forme du mythique Dragon Radar. Cette dernière permet de contrôler les TV et lecteurs DVD des principaux constructeurs (après avoir été programmée avec l’aide des codes fournis), au moyen des touches disposées sur la face avant du radar. Le bouton multifonction situé sur le haut du détecteur permet pour sa part de switcher entre les modes TV/DVD en émettant un Bip tel celui produit par l’original. Un joli objet, à l’échelle 1:1, qui a défaut de vous permettre de trouver les boules de cristal, sera utile dans le cas où vous oserez vous en servir.

Zenny
Initialement prévue le 25 mai 2005, la Dragon Ball GT Dragon Box a vu sa sortie repoussée de trois semaines pour motif d’un nombre de précommandes de dernière minute trop important par rapport aux prévisions. Afin de s’excuser du retard, une pochette accompagne le coffret et contient, outre un petit mot d’excuse, une dizaine de billets de 10000 zenny présentant chacun un petit numéro. Ce dernier permettait de participer à une loterie ouverte uniquement aux résidents japonais et pour laquelle divers lots étaient mis en jeu.

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Le packaging
La Dragon Box se présente sous la forme d’un fourreau très robuste dans lequel sont glissés trois "coffrets" contenant les DVD et aux côtés desquels figure l’Art Book. Chaque coffret, une fois ouvert, dévoile quatre discs mais contrairement aux précédents box, une fois le DVD ôté de son emplacement, on ne découvre pas d’illustration. Autre déception, aucun gaufrage n’est présent sur le fourreau et les coffrets bénéficient d’un style métallique pas franchement convaincant. Les sérigraphies des Disc sont en revanche très colorées et assez chargées en illustration : un équilibre entre ces dernières et l'intérieur du coffret aurait sans nul doute été plus judicieux. Il y a donc une baisse évidente de la qualité du packaging comparé à celui de ses aînées même si celui-ci se distingue nettement par rapport à un produit plus conventionnel. Deviendrait-on trop exigeant ?