Izumi, c'est ton...?

Avec l’arrivée de l’automne, Pochi s’est considérablement empâté. Mitsuki lance alors une opération pour le mettre au régime.
Pochi doit donc faire de l’exercice en courant après une Izumi très légèrement vêtue et se détruire l’estomac en mangeant la cuisine d’Anna. Ces deux méthodes échouent néanmoins. Apparaît alors un recruteur qui souhaite faire d’Izumi une star.

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Un filet aux mailles très très serréees!

C’est la première journée de repos pour les servantes de Yoshitaka. Ce dernier, Mitsuki et Anna sont absents et Izumi a du temps à tuer seule à la maison. Karin, la dernière des sœurs Sawatari, vient alors rendre visite à Pochi. Elle explique que leur père a été hospitalisé suite à un accident de voiture et que leur mère a demandé à ce qu’Izumi s’occupe d’elle.

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Izumi reste Izumi, mais elle ne se laissera plus faire.

Izumi fait ses premiers pas dans le monde du show business. Afin de participer à une séance de photo en maillot de bain, Izumi se rend au bord de la mer où Pochi a le coup de foudre pour le crocodile femelle Hélène. Apparaît alors sa propriétaire Alicia, une jolie française. Izumi a un étrange pressentiment à son égard...

On retrouve à nouveau Izumi entourée de toute la bande d'obsédés qui habitent chez Yoshitaka. Elle va devoir, cette fois, faire face à l'exploitation de ses propres photos et va tenter de devenir une Idol afin de gagner beaucoup d'argent et enfin avoir une chance de s'apurer de sa dette et être libre.
Le scénario reste sur la même optique et utilise toutes les excuses possibles afin de nous présenter les personnages féminins en tenues très légères. On retrouve encore une fois de nouveaux personnages comme Karin, la soeur d'Izumi et la belle Alicia qui auront aussi l'occasion de porter des tenues sexy. Cette dernière est accompagnée d’un crocodile femelle…
Le Character design est assez réussi avec des plans arrêté sur les filles qui ne manquent pas de détails. L'animation est toujours de même niveau, sans être un modèle de fluidité, elle est largement suffisante pour cette série. Enfin, les deux versions se valent et chacun aura la possibilité de choisir sa langue sans risquer de perdre en qualité car les deux doublages sont aussi dynamiques l'un que l'autre.
En ce qui concerne le DVD, rien à signaler. On continue le petit tour des bonus avec cette fois le ending sans crédit. La qualité d'encodage est toujours aussi bonne.

Mon avis
Toujours aussi folle et remplie d'image sexy des différentes demoiselles présentent à l'écran, He is my master ne failli pas à sa tâche qui est de nous montrer un maximum de fan service avec un minimum de temps mort au niveau de l'histoire. Encore une fois, rien de super original ici mais l'on sort un peu de la routine des soubrettes avec l'idée de faire d'Izumi une idol (espèce de mannequin japonais sexy adulé par des milliers de fans).
Ceux qui ont commencé cette série ne seront en aucun cas déçus par ces trois nouveaux épisodes. Fans de petites culottes et d'humour fracassé, à vos lecteurs...