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Dragon Ball
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/Z Edition VO/VF - Partie 1 
Critique de Yann Mermet, le Dimanche 14 Octobre 2007 à 12:02
Staff Technique Oeuvre orig. : Akira Toriyama Producteur : Kozo Morishita Directeur : Daisuke Nishio Dir. artistique : Yuji Ikeda Dir. animation : Minoru Maeda Musique : Shunsuke Kikichi Acteurs : Version japonaise : Goku, Gohan : Masako Nozawa Vegeta : Ryo Horikawa Piccolo : Toshio Furukawa Klylin, Yajirobe : Mayumi Tanaka Bulma : Hiromi Tsuru Trunks : Takeshi Kusao Kaio, Narrateur : Joji Yanami Yamcha : Toru Furuya Kame Sennin : Kohei Miyauchi Oolong : Naoki Tatsuta
Version française :
Son Goku jeune / Son Gohan: Brigitte LecordierSon Goku adulte: Patrick BorgBulma: Céline MonsarratKrilin : Claude Chantal / Francine LainéTortue Géniale: Pierre TrabaudYamcha: Eric Legrand
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Fiche de l'animéPublic : 12+
Origine : Japon
Titre original : (idem vf)
Type : Film
Genre : Aventure
Durée : 500 minutes
Année de prod. : 1986-1992
Produit par : Tôei Dôga
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Fiche du DVD |
Zone : 2 (Europe) 
Format cinéma : 1.33 Plein écran
Format vidéo : 16/9 compatible 4/3 Couleur : PAL Vidéo : 9 Mbps Audio : 224 Kbps Support : DVD-9 (1 face/2 couches) Disponibilité : Disponible (29/08/2007) Editeur : AB Vidéo
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Bonus/Goodies :
- Livret 92 pages
- 10 cartes postales
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Présentation |
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Ce coffret regroupe les trois premiers films de Dragon Ball ainsi que le Spécial narrant l'histoire de Baddack et les 6 premiers films de Dragon Ball Z.
Cette nouvelle édition, prévue en 2 Box, regroupera donc tous les films et Spéciaux réalisés en marge du manga de Akira Toriyama excepté le 4ème de Dragon Ball édité chez Toei France. Le spécial tiré de Dragon Ball GT sera également inclus dans le second coffret.
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DVD1 - Dragon Ball - Films 1 & 2 :
La Légende de Shenron
(20 décembre 1986 - 50 minutes - Shenron no Densetsu)
Quelque part sur la Terre, un village entier vit sous l’autorité abusive des troupes du roi Gourmet. Afin d'acheter les mets les plus raffinés, il exploite les habitants et charge ses fidèles serviteurs de lui ramener les sept Dragon Ball.
Le château du démon
(18 juillet 1987 - 45 minutes - Majinjô no nemuri Hime)
Son Goku et Krilin sollicitent tous deux Tortue Géniale afin de bénéficier d’un enseignement des arts martiaux de la part du grand maître. Ce dernier acceptera à la condition que les deux garçons lui ramènent la princesse endormie du Château du Démon qu’il souhaite épouser.
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DVD2 - Dragon Ball - Film 3 / Dragon Ball Z - Spécial 1 :
L'Aventure Mystique
(9 juillet 1988 - 46 minutes - Makafushigi Daibôken)
Après les avoir formés, Tortue Géniale compte évaluer le niveau atteint par ses deux élèves, Son Goku et Krilin, au cours d’un tournoi d’Art Martiaux organisé sur l’île du jeune empereur Chaoz. Ce dernier est victime des intentions malveillantes de son nouveau conseiller.
Baddack contre Freezer
(17 octobre 1990 - 47 minutes - Tatta Hitori no Seishou Kessen Furiza ni Chounda Z Senshi Songokuu Otosan)
Ce "spécial" nous raconte les dernières heures de la planète Vegeta vécues par Baddack, le père de Son Goku. Consécutivement à un coup encaissé durant un combat, ce dernier devint victime de visions prémonitoires qui lui permirent de voir l’avenir de son fils, mais également la destruction prochaine de la race des Saiyans, et s’il fut impuissant face à Freezer, il mourut avec la satisfaction de savoir qu’il serait vengé quelques années plus tard…
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DVD3 - Dragon Ball Z - Films 1 & 2 :
A la poursuite de Garlic
(15 juillet 1989 - 41 minutes - Ora no Gohan wo Kaese !!)
Sorti de la dimension dans laquelle il avait été emprisonné autrefois par le Tout Puissant, le démon Garlic Jr est bien décidé à se venger. Désireux de réunir les 7 boules de cristal afin d’obtenir l’immortalité, sa quête le conduit très rapidement chez Son Goku où il enlève le petit Son Gohan porteur de l’une des Dragon Ball sur son chapeau.
Le robot des Glaces
(10 mars 1990 - 60 minutes - Kono Yo de Ichiban tuyoi Yatsu)
Grâce à un souhait formulé à Shenron, la base du Dr Willow a été émergée du fin fond des glaces mais depuis sa mort accidentelle, le cerveau du scientifique est conservé artificiellement dans un robot. Son collègue se met en quête du corps le plus approprié pour accueillir cet hôte et se focalise sur Tortue Géniale, l’homme le plus fort du monde selon ses données.
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DVD4 - Dragon Ball Z - Films 3 & 4 :
Le combat fratricide
(7 juillet 1990 - 61 minutes - Chikyû Marugoto ChôKessen)
Un vaisseau extra-terrestre débarque sur la planète avec à son bord un groupe de guerriers. A leur tête se trouve un Sayajin nommé Thales, ressemblant étrangement à Son Goku, qui plante la graine d’un arbre dont le développement épuise rapidement les ressources de la Terre.
La menace de Namek
(19 mars 1991 - 52 minutes - Sûpâ Saiyajin da Son Gokû)
De nouveaux envahisseurs atterrissent sur la Terre et leur chef n’est autre que Slug, un guerrier originaire de la planète Namek. Il apprend très vite l’existence des Dragon Ball qu’il veut alors réunir afin de demander la jeunesse éternelle et retrouver ainsi sa puissance d’autrefois.
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DVD5 - Dragon Ball Z - Films 5 & 6 :
La revanche de Cooler
(20 juillet 1991 - 47 minutes - Tobikkiri no Saikyô tai Saikyô)
Ayant appris que des Sayajins avaient survécu au génocide réalisé par son frère Freezer, Cooler fait route vers la Terre afin d’exterminer définitivement ces derniers descendants. Accompagnés de ses sbires, il retrouve rapidement Gohan et Goku qu’il blesse très sérieusement.
100 000 guerriers de métal
(7 mars 1992 - 46 minutes - Gekitotsu!! Hyaku Oku pawâ no Senshitachi)
Supposé mort depuis son combat perdu face à Son Goku, Cooler réserve une surprise de taille à nos amis lorsque ces derniers le retrouvent sur Namek à la tête d’une armée de robots. Doté d’un corps métallique, la tâche s’annonce difficile face à un ennemi dont les membres se régénèrent à volonté.
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Comparatif entre les éditions : Voici un petit comparatif entre trois éditions : le premier DVD des 3 films de Dragon Ball sorti en 2004, l’édition japonaise (via les Dragon Box) et enfin le coffret dont il est question ici. Premier constat, on remarquera donc la perte d’une partie de l’image horizontalement entre le 16/9 jap et celui français. En ce qui concerne la qualité, l’image est nettement moins bruitée que celle de la première édition française des films de Dragon Ball. Les poussières sont plus rares, la luminosité rehaussée et les couleurs plus contrastées. En revanche (et même si cela n’est peut être pas flagrant sur les comparatifs compte tenu de la taille des échantillons), on est encore loin de l’édition japonaise dépourvue de bruit et de poussières. Sur les Dragon Box, les détails ressortent bien mieux et les couleurs paraissent plus naturelles et constantes. |
Image |
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Comme pour la Dragon Box "Movie" japonaise, les films sont présentés dans leur format orginal de diffusion c’est à dire en 16/9 alors que le spécial, destiné à la TV, demeure en 4/3 en toute logique. Malheureusement et contrairement à sa grande sœur nippone, il ne s’agit pas d’un 16/9 anamorphique mais "Letter Box" avec donc un encodage des bandes noires. Les possesseurs de téléviseurs 16/9 apprécieront sans doute surtout s’ils regardent le film en VOSTF en zoomant l’image...
Le master n’est pas non plus celui utilisé pour l’édition japonaise et l’image présente de ce fait des poussières, griffures et tâches plus ou moins visibles selon le film.
Les films Dragon Ball
Les trois films les plus anciens bénéficient d’une image bien colorée et les artefacts sont plutôt discrets avec une mention particulière au troisième film.
Le Spécial
Nettement moins bien loti que les films, le Spécial présente des couleurs très pales et beaucoup d’artefacts. Les poussières et griffures sont fréquentes et assez prononcées donnant au final une image bruitée et très usée.
Les films Dragon Ball Z
La colométrie est dans l’ensemble très correcte mais ils ne sont pas exempt de tâches et poussière non plus.
Au final, l’image n’est pas granuleuse et visuellement l’impression générale demeure assez bonne mais le bilan pâti lorsque l’on regarde d’un plus près. Parfois un peu floue, elle souffre en effet de cross coloration à plusieurs reprises et les couleurs ont également tendance à baver. Techniquement ce n’est donc pas parfait.
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Son |
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Les deux pistes sonores offrent un rendu satisfaisant avec une bonne restitution des musiques et des voix parfaitement intelligibles. Le son est néanmoins plus étouffé sur la VO, phénoméne déjà remarqué sur les Dragon Box. On note de plus sur la piste japonaise un petit effet de souffle et quelques craquements sonores sporadiques.
Plus gênant sur cette dernière, le son saute à plusieurs reprises sur le Spécial peu après la 22ème minute lors de l'un des fameux passages musical (et quel passage...) Solide State Scouter utilisé uniquement sur cet "épisode" : Blasphème !
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| Packaging |
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Les menus
Après une petite introduction animée (différent entre les DVD selon qu’ils contiennent "du" Dragon Ball, DBZ ou les deux), un premier écran permet de choisir l’un des deux films du DVD. Un second écran propose ensuite les différentes options de lecture chacun avec en fond une illustration différente selon le film. La sélection de la configuration sonore (VF ou VOSTF) ainsi que le lancement de la lecture depuis le début ou la consultation de crédits partiels se fait sur ce même écran. L’interface n’est donc pas très exhaustive niveau fonctionnel et se réduit à l’essentiel. On regrette ainsi qu’aucun écran ne permette de sélectionner un chapitre même si chaque film est indexé en plusieurs parties entre lesquelles il est possible de zapper avec la télécommande durant la lecture. Les différents menus sont par ailleurs accompagnés de musiques extraites de l’animé (principalement les génériques).
A noter qu’il n’est pas possible de changer de configuration (langue ou sous-titres) en cours de lecture, ces paramètres étant volontairement bloqués.
Le Livret
Le coffret s'accompagne d'un livret assez copieux de 96 pages contenant une introduction sur la série et sur Akira Toriyama (assez succincte et incomplète), des fiches pour la plupart des personnages, la présentation individuelle de chaque film / Spécial et enfin une partie Dossier sur des thèmes particuliers découlant de la Saga.
Si visuellement ce fascicule s’avère très réussi avec de jolies illustrations originales (ou encore l’utilisation de personnages en SD) et une mise en page particulièrement sympathique, le contenu demeure pour sa part extrêmement pauvre. Les présentations des personnages sont très rudimentaires, il y a quelques erreurs dans les informations dont une belle coquille sur l’incohérence concernant le premier film de Dragon Ball Z (Le "Tout Puissant" et Piccolo n’ont pas fusionné avant l’arrivée de Vegeta mais au moment de l’apparition de Cell !).
En fait, la rédaction manque tout simplement de passion ce qui est très dommage car il y avait facilement de quoi faire quelque chose de bien autour d’un titre de ce calibre.
Le packaging
Oubliées les précédentes éditions DVD de l’éditeur connues entre autre pour la médiocrité des visuels ! Pour ce coffret, le packaging sort effectivement le grand jeu en nous proposant d’authentiques Art Works nombreux et variés. Le coffret se compose donc d’un boîtier cartonné robuste s’ouvrant tel un livre et contenant un Digipack ainsi que le livret et les 10 Cartes offertes. L’infographie est donc parfaitement adaptée au contenu avec un style franchement attirant. L’utilisation du Kanji de Son Goku, la sélection d’illustrations équilibrées entre Dragon Ball et DBZ, les petits détails tels que les capsules et autres sont autant de points qui séduiront les fans de la série.
Goodies
En guise de goodies, le coffret contient 10 cartes illustrées des affiches originales et sans crédits, des 9 films et du spécial. Un complément assez sympathique mais qui ne fait pas oublier l’absence de bonus.
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Diverses remarques |
Le master inclus les génériques en version originale crédités en japonais (et dont les paroles sont sous-titrées en VOSTF). Il en est de même pour les écrans titres et quelques inscriptions présentes qui sont simplement sous-titrés.
Le Spécial "Baddack contre Freezer" n’inclut pas les Eyes Catch présents sur l’édition japonaise.
Les sous-titres respectent assez bien l’oeuvre originale que se soit pour les attaques (dont les appellations ne sont pas adaptées) ou pour les noms des personnages. "Petit Coeur" reprend donc son véritable nom à savoir Piccolo, "San Goku" redevient Son Goku (ou "Son" tout court lorsque le héros est interpellé par Piccolo ou les "Son Kun" de Bulma)
Dommage de ne pas avoir gardé cette logique jusqu’au bout puisque Tortue Génial a pour sa part été conservé.
le générique du second film de Dragon Ball a été remplacé par celui du premier film. Ceux-ci différent par le titre du film qui y est inclus.
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Note du disque |
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Note de l'animé |
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Demandée et attendue par les fans de la mythique série depuis de nombreuses années, la Saga Dragon Ball nous parvient enfin dans une édition un peu plus digne de sa popularité quasi éternelle via un coffret s’attaquant à la première partie des films (et Spéciaux ) basés sur l’oeuvre du maître Akira Toriyama. Si ces derniers ne sont pas sans doute pas les meilleures productions animées tirées du manga, ils présentent l’avantage d’être peu censurés et de ce fait beaucoup plus propices à d’une édition VF / VOSTF. Pour ceux n’ayant pas encore eu la chance de profiter des voix japonaises, c’est clairement l’occasion à ne pas manquer. Les voix des Seiyus japonais nous font très vite oublier la plupart des comédiens français (mais que pourrait-on faire face à la fabuleuse Masako Nozawa !) et quel plaisir de disposer du sens original, nettement plus cru et donc en phase avec le "spectacle" offert.
Concernant le coffret, comme vous l’aurez compris tout n’est pas parfait loin de là. Techniquement on peut même dire que l’édition a "un train de retard" avec son 16/9 Letter Box obsolète. Le matériel porte des traces d’usure même s’il est nettement plus approprié que celui des précédentes éditions DVD sorties par l’éditeur ces dernières années. Dommage que le master des fameuses Dragon Box japonaises n’ait pu être exploité.
Néanmoins le plaisir n’est pas gâché pour autant même si les fans les plus pointigneux trouveront motifs à bouder ce coffret. Les sous-titres assurent l’essentiel pour bien profiter de la VO et la présence de la VF d’origine nous permet de garder une trace des voix par lesquelles nous avons découvert l’animé. (même si les castings de la série et des films présentent quelques différences tel que l'absence du fabuleux Eric Legrand dans "100 000 guerriers de métal" pour la seule véritable apparition de Vegeta du coffret) Pour ne rien gâcher, le packaging, complètement dans l’esprit de l’animé, s’avère particulièrement réussi. Déception en revanche concernant l’absence de bonus (les bandes annonces japonaises auraient aisément remédié à ce défaut) et le contenu du livret franchement décevant.
Mon avis : Dragon Ball représentant sûrement l’un des titres nostalgiques les plus attendus en VOSTF, ce coffret répond donc à l’attente d’un public pour lequel il constitue en quelque sorte le Saint Graal tant espéré. Si des défauts sont présents, on se fait tout de même clairement plaisir (à moins d’être complètement blasé ?) en profitant d’une version japonaise bien bourrin comme on l’attendait. On espère avec impatience la sortie du second et dernier coffret annoncé pour 2008 qui contiendra notamment des films basés sur DBZ assez censurés lors de leur diffusion française.
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| Points Forts |
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Points Faibles |
+ Enfin du DBZ en VOSTF !
+ Version intégrale
+ Packaging très réussi
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- Pas de Bonus
- Contenu du livret décevant
- Quelques lacunes techniques
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Matériel utilisé pour le test :
Lecteur DVD Pioneer 454
TV 72 cm Philips
Home Cinema Sound System Philips MX756
Lecteur DVD Sony DVPNS-355S
TV 55 cm Philips - Tube Real Flat BlackLine S - Digital Crystal Clear |
© Bird Studio / Shueisha, Tôei animation
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| Packaging |
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