Dix ans après une gigantesque catastrophe appelée Red Hole, Ganta, un jeune étudiant, vit une vie sans histoire, jusqu’à ce qu'un drame terrible survienne dans sa vie. Un matin, toute sa classe est massacrée par un tueur masqué aux pouvoirs effrayants: un mystérieux homme en rouge. Seul survivant, Ganta est soupçonné d'avoir tué ses camarades. Il se voit condamné à mort et enfermé à Deadman Wonderland, une prison privée, la seule en son genre, dans laquelle il sera confronté à une nouvelle et terrifiante réalité...

Une série où le sang qui coule peut être mortel.
Deadman Wonderland nous entraîne dans une prison des plus inattendue. En effet, celle-ci prend l'aspect d'un parc d'attraction dont les attractions ne sont rien d'autres que des jeux de la mort et de survie des prisonniers. En parallèle, on s'enfonce dans les méandres de cette prison qui abrite également des êtres aux pouvoirs exceptionnels: celui de contrôler leur sang.
La série nous emprisonne dans un univers fascinant, inaccoutumé, malsain et sanglant remplit de secrets. On suit la descente aux enfers du personnage principal qui devra affronter des co-détenus tous plus fou et puissant les uns que les autres. Au niveau des combats justement, on côtoie des combats surprenants et sanglants et les affrontements du personnage principal qui s'avèrent moins flamboyants. Si Deadman Wonderland perd en saveur, c'est bien au niveau de son personnage principal bien trop naïf et agaçant pour cet univers glauque et à cause d'un final qui n'en a que le nom.
Le design est d'excellente qualité, fidèle à l'œuvre originale, conservant une qualité constante tout au long de la série. L'ambiance est glauque et envoûtante à souhait.

L'édition est excellente, ne présentant aucun souci majeur sur les différentes pistes. Les bonus sont cependant inexistants, fort dommage.

Mon Avis: Malgré un lancement alléchant, la série s'émousse petit à petit. En ce qui me concerne, j'ai énormément apprécié la série, bien qu'elle ne réponde en rien aux questions que l'on se pose.