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The Big O

Volume 1/4

Critique de ssx999, le Mardi 25 Décembre 2001 à 19:03

Staff Technique
Oeuvre orig. : Hajime Yatate
Producteur : Tsutomu Sugita, Eiji Sashida, Ohashi Chieo
Directeur : Kazuyoshi Katayama
Chara. design : Keiichi Satou
Mecha design : Keiichi Satou
Dir. artistique : Masaru Ota
Dir. photographie : Kazuhiro Okeda
Musique : Toshihiko Sahashi
Fiche de l'animé
Origine : Japon
Titre original : (idem vf)
Type : Série TV
Genre : Mecha/Robot
Durée : approx. 80min
Année de prod. : 1999
Produit par : Bandai Visual Co. Ltd.
Sunrise Inc.

Fiche du DVD
Zone : 1 (US) 1 (US)
Format cinéma : 1.33 Plein écran
Format vidéo : 4/3
Couleur : NTSC
Vidéo : 4.60Mbps
Audio : 192kbps
Support : DVD-5 (1 face/1 couche)
Boitier : Digipack
Disponibilité : Disponible (19/06/2001)
Editeur : Bandai Entertainment
Format sonore
Japonais Anglais
Dolby Digital Stéréo Stéréo
Japonais Stéréo ; Anglais Stéréo

Sous-titre(s) : anglais
Bonus/Goodies : Trailers
Générique de début sans crédits
Interview textuelle





5 : Parfait !
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Roger The Negotiator :
Roger Smith est appelé pour régler une affaire de rançon pour la libération de Dorothy, la fille kidnapée d'un éminent scientifique de Paradigm City. Mais cette affaire se révèle bien plus délicate qu'elle n'y paraît dès l'instant où Roger s'aperçoit que la fille qu'il vient de libérer n'est pas la véritable fille de Soldano, mais est en fait une androïde.

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Dorothy, Dorothy :
Le secret qui entourait l'existence de Dorothy a été dévoilé, mais son kidnappeur est de retour pour se servir d'elle afin de mettre à exécution ses sombres desseins. Roger devra alors compter sur son Megadeus "Big O" pour contrecarrer ses plans et sauver Dorothy.


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Electric City :
Paradigm City est en proie à de nombreuses coupure de courant. Casey Jenkins, une femme ravissante, loue les services de Roger Smith afin qu'il rétablisse la situation avec la ville voisine qui est leur source d'électricité. Mais une fois arrivé sur place, Roger se retrouvera confronté à lourd écueil, les habitants refusent de remettre en fonction la centrale craignant la colère du dieu qui y a élu asile...
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Underground Terror :
Roger Smith doit enquêter sur la disparition d'un reporter qui tient en sa possession un manuscrit d'une grande importance pour les dirigeants de la ville. Mais Roger soupçonne que quelque chose de bien plus grave se trame derrière cette histoire car l'affaire se révèle bien trop simple pour faire appel à une personne telle que lui...

 Image
4 : Très bon !
Le travail de l'image pour cette série est admirable mais pas exempt de petits reproches. L'image est très nette avec des contours précis sans aucun flou. Les couleurs sont bien rendues et le contraste très bien réglé, ce qui peut s'avérer fort utile compte tenu de l'ambiance souvent sombre de la série. La compression ne révèle aucun problème et est parfaitement maîtrisée. Le tout s'anime à merveille sans aucun défaut. Le reproche que l'on peut faire est l'apparition furtive de petites taches blanches à l'écran. Suivant les épisodes ils sont plus ou moins présents mais n'occasionnent pas de préjudices trop importants à la qualité de l'image.
 Son
4 : Très bon !
Deux pistes sont présentes: anglais stéréo et japonais stéréo. Seule la VO a fait l'objet d'une écoute et ne révèle à aucun moment le moindre défaut. Le son est clair et dynamique, pas de souffle ni de saturation. Les voix des divers personnages leur sied à merveille et sont très convaincantes. En plus d'un doublage réussi, les musiques ne sont pas en reste et contribuent en grande partie à l'ambiance si nostalgique de cette série qui se veut résolument "rétro". De très beaux thèmes sont joués, et les moments d'action s'accompagnent de musiques très bien rythmées et parfaitement adaptées.
 Interactivité 1 : Nul ! Packaging
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Le menu principal reprend le moniteur de contrôle du cockpit du Megadeus "Big O" et c'est bien là le problème. Toutes les informations nécessaires à la navigation sont concentrées sur cet écran minuscule et de par la place extrêmement limitée que ce dernier offre, les libellés des sections vont vraiment droit au but: PLAY, SET UP, 1, 2, 3, 4 et EXTRAS. Bien sûr la navigation reste très intuitive mais vu que seules les options mises en surbrillance apparaissent, les autres étant tout bonnement effacées, il faut appuyer un peu n'importe où pour connaître l'emplacement des différentes sections mais on s'y fait rapidement. Chaque changement de menu s'accompagne de petites transitions. Le choix des scènes s'effectue tout d'abord en sélectionnant l'épisode que l'on veut regarder. On est ensuite en présence de trois petites vignettes animées pour les deux premiers épisodes puis quatre pour les deux derniers. Le découpage des épisodes est très classique: générique de début s'il y a lieu, les début et milieu d'épisode puis le générique de fin. Le choix des langues et l'affichage des sous-titres s'effectue soit dans le menu approprié, soit avec la télécommande en cours de lecture.
  Les suppléments ne sont pas nombreux. Ils se composent de trailers (Angel Links, Mobile Suit Gundam, Saber Marionette J et Gundam Wing), générique de début sans crédit et enfin des interviews du character/mechanical designer Keichi Satou et du directeur Kazuyoshi Katayama le tout sous forme de texte.
 Problèmes rencontrés
Aucun.

 Note du disque 4 : Très bon !  Note de l'animé 5 : Parfait !
The Big O est une série courte qui comporte pour le moment 13 épisodes. Le style graphique très angulaire des personnages et l'aspect plus que rétrograde des différents méchas se détachent quelque peu des productions les plus connues de Sunrise (Cowboy Bebop, Tenku No Escaflowne, Mobile Suit Gundam...) et peut éventuellement choquer au premier abord, mais une fois passé ce cap et surmonté ce sentiment de répulsion qui nous anime (la toute première fois que j'ai découvert The Big O, ma réaction la plus spontanée fut: "Mais qu'est ce que c'est que cette horreur?"...), on commence à regarder la série telle qu'elle est vraiment et c'est une pure merveille! Je la classe d'ailleurs parmi mes favorites. Pour une série qui privilégie le système d'épisodes indépendants et donc des histoires courtes, les épisodes sont très bien conçus avec des histoires réellements intéressantes et bien recherchées. L'intrigue imaginée par Konaka Chiaki à qui l'on doit entre autres Serial Experiments Lain et Bubblegum Crisis Tokyo 2040 est superbement bien menée et habilement distillée tout le long des épisodes qui composent la série (l'épisode 4 illustre parfaitement ces propos). C'est donc une série que je qualifierai de HIT et à posséder à tout prix.



Note Globale
4.5 : Excellent ! Ca frise la perfection !
Matériel utilisé pour le test :
- Lecteur DVDROM Pioneer DVD-U03S SCSI 6X32X externe (RPC1) + carte décompression RealMagic Hollywood Plus
- TV Mitsubishi CT-21N6F 55cm Multistandard
- Haut Parleurs Altec Lansing ACS54
© Bandai Visual Co. Ltd.
Sunrise Inc.
Packaging


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