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Lodoss
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Chroniques de la guerre de
Volume 1/3 
Critique de Yoann Legallais, le Dimanche 12 Mai 2002 à 13:15
Staff Technique Oeuvre orig. : Ryô Mizuno, Hitoshi Yasuda Réalisation : Akinori Nagaoka Scénario : Mami Watanabe Chara. design : Nobuteru Yuki Décors : Hidetoshi Kaneko Musique : Mitsuo Hagita Animation : Yutaka Izubuchi
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Fiche de l'animé
Origine : Japon
Titre original : Lodoss tô Senki
Type : OAV
Genre : Heroïc Fantasy
Durée : 110 minutes
Année de prod. : 1990
Produit par : Madhouse
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Fiche du DVD |
Zone : 2 (Europe) 
Format cinéma : 1.33 Plein écran
Format vidéo : 4/3 Support : DVD-5 (1 face/1 couche) Boitier : Digipack Disponibilité : Disponible Editeur : Kaze
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Bonus/Goodies : 2 Documentaires: Lodoss et le jeu de rôle & Géographie des lieux, Galerie d'images, bandes-annonces.
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1 - Prologue à la légende
2 - L'embrasement
3 - Le chevalier noir
4 - La sorcière grise
5 - Le roi du désert
Parn, l’apprenti héros se retrouve à la tête d’un groupe déterminé à préserver la paix sur l’île de Lodoss. La paix est en effet menacée par le royaume de Malmo, dont l’armée est conduite par le terrible Ashram, déjà ses troupes ont conquis les territoires limitrophes de Vallis. Difficile de dire qui se tapit dans l’ombre pour tirer sur les ficelles du destin et de l’histoire, ce qui n’empêche pas notre éclectique groupetto de partir à la recherche du sage Wort, tandis qu’Ashram se retrouve aux portes de Vallis. Mais qui est donc cette mystérieuse sorcière grise qui se téléporte partout ? A – t –elle un lien avec l’Enterprise et le commandant Spock ? Ne manquez surtout pas les prochains épisodes…
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Image |
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La qualité d’image est bonne sur l’ensemble du DVD, on peut pourtant noter quelques défauts ponctuels. Lors de l’épisode 5 la qualité d’image se dégrade le temps de la scène de la ballade nous racontant l’histoire des 6 anciens héros, problème qui se retrouve lors du générique de fin.
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Son |
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Pourquoi lors du visionnage en version française le générique de début est – il proposé en version instrumentale ? On peut remarquer que les génériques chantés de début et de fin souffrent d’un son plutôt moyen, y’aurait-il eu des problèmes avec les masters ? Pour parler de la version française, il est heureux que Kaze nous propose la VO stf, car si personnellement je n’ai rien contre les doubleurs français, il faut dire qu’il est dur de rivaliser avec le jeu des acteurs originaux.
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| Interactivité |
| | Packaging |
Commençons par le début, les menus et l’interactivité ? Un bel effort graphique si l’on compare à « The Cockpit », on sent une volonté affichée de la part de Kaze pour progresser rapidement dans ce domaine. Il en va de même pour l’interactivité, le voyage entre les menus étant facilité par la présence de raccourcis.
Par contre, on peut regretter que les OAV ne soient pas « entiers », je m’explique : les épisodes s’enchaînent, mis bout à bout, on a donc droit à un générique de début, tous les épisodes puis un générique de fin. Hors sur un support comme le DVD qui fonctionne par chapitrage, je trouve dommage de nous priver de l’édition japonaise type qui intègre en fin d’épisodes les teasing. Même si l’on retrouve cependant deux de ces teasing au programme des bandes-annonces…
Passons aux suppléments, si le document « Spécial Rôlistes » est d’un intérêt relatif, par contre celui dédié a la « Géographie des lieux » est très intéressant car il permet de mettre en perspective les diverses influences qui ont conduit a la création de l’univers de Lodoss, autant du point de vue graphique que littéraire. Un document qui voit au delà du simple cas Lodoss pour s’étendre sur l' intégration des mythes occidentaux dans les créations japonaises, phénomène qui peut se retrouver dans des séries tel Saint Seiya. A noter également une très belle galerie de croquis.
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Bilan artistique |
L’animation connaît ses hauts et ses bas, le cœur des réalisateurs a ses raisons que le budget des OAV ignore, par contre la plastique de l’ensemble est très réussie, qu’il s’agisse du design des personnages ou du soin apporté au décors. Il en va de même pour l’ambiance parfaitement supportée par une bande originale qui fait les beaux jours des maîtres de jeu es AD&D.Inutile de faire une analyse fine de l’histoire, c’est une réussite dans le genre heroic-fantasy, le monde de Lodoss et ses personnages ont une profondeur rare. Bien sur le créateur Mizuno tire sur toutes les ficelles et codes que d’autres avant lui ont institués, tel Tolkien, mais la narration est assez subtile pour ménager ses surprises et les aventures de nos héros sont très plaisantes à suivre.
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Note du disque |
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Note de l'animé |
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Jérôme Mouneyrac (12 Mai 2002 à 13:05) : Commençons avec les choses qui fachent et restons y. Il faut avouer que je ne suis pas un fan de Lodoss. En tout cas à la vision des cinq premiers épisodes, ce n'est pas l'extase. D'une valeur inégale, le cinquième épisode est par exemple bien plus interessant que les précédents. On suivait jusqu'alors 6 personnages en quête d'aventure, cette aventure étant entrecoupée de flashback présentant les protagonistes. C'est lors du cinquième épisodes que l'on nous donne réellement quelques fils conducteurs auquel le spectateur pourrait s'accrocher. L'elfe est amoureuse de Parm le jeune guerrier qui ne pense qu'a se battre. Tandis que le nain pense avoir retrouvé la fille qu'il recherche. Leurs aventures se déroulent en plein milieu d'une guerre pas vraiment simple à comprendre. C'est même le principal reproche formulé à l'égard de cette série d'OAV: on ne comprend pas grand chose dans ces premiers épisodes, qui ma foi sont souvent ennuyeux.
Mise à part cet avis personnel, le DVD n'est pas une franche réussite. Les suppléments ne sont pas passionnants et n'ont quasiment pas d'intérêt vis à vis de Lodoss. Les suppléments, toujours Kaze, de Gunsmith Cats étaient par exemple bien mieux réussis. Enfin ... ils font tout de même acte de présence.
La dernière critique à formuler concerne le son. Les musiques de l'anime sont vraiment magnifiques. Cependant l'encodage est désastreux. Vous avez donc le choix entre un version japonaise très mauvaise, une VHS restituant facilement un son de meilleur qualité. Ou alors une version française dont le générique n'a pas de parole. Incompréhensible.
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| Autres critiques |
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